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vendredi 26 juillet 2013

Programme : vendre 10 % de la Sonatrach aux actionnaires algériens pour lutter contre

Programme : vendre 10 % de la Sonatrach aux actionnaires algériens pour lutter contre la corruption

Qu’en pensez-vous ?
Pour 2014, en Algérie :
Pour lutter contre la corruption, je propose de vendre (privatiser) 10% du capital de la Sonatrach (entreprise nationale des hydrocarbures, pétrole et gaz) aux bénéfices exclusifs des actionnaires algériens.
Pourquoi ?
Sonatrach
Depuis la nationalisation des hydrocarbures en février 1971 par le Président algérien Houari Boumediene (Allah irhmou), la Sonatrach est devenue la première entreprise africaine avec un chiffre d’affaires colossal, de près de 80 milliards de $. Sonatrach est le 12e groupe pétrolier au niveau mondial, le 4e exportateur de GNL, le 3e exportateur de GPL et le 5e exportateur de gaz naturel.
Cette entreprise nationale représente 98% des ressources en devises du pays tout entier et 70% des recettes fiscales, ouvrant grands et gros les appétits des dirigeants et les ministres de tutelle.
Conséquence de cette situation totalement anormale :
Les scandales de corruption à répétition qui se comptent en milliards de $ de pertes pour le peuple algérien. Le dernier scandale en date est celui lié au Ministre de l’énergie, Chakib Khelil pour une corruption et des malversations à hauteur de 2 milliards de $.
Il est urgent de mettre en place des garde-fous :
Je propose trois garde-fous :
1) Le premier garde-fou sera la privatisation de 10% de l’entreprise publique destinée aux actionnaires algériens exclusivement qui auront des représentants au Conseil d’administration de la Sonatrach. L’objectif est de pouvoir être courant de tout ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise de façon à prévenir les tentatives de corruption et de malversations.
2) Le deuxième garde-fou que je propose concerne la taille de l’entreprise :
Sonatrach est un géant avec une taille disproportionnée. Je propose donc de scinder la compagnie en 2 : une entreprise "pétrole" et une entreprise " gaz".
Ainsi, en divisant l’entreprise en 2, on crée deux entités différentes avec deux managements différents. En procédant ainsi, on diminue le risque de corruption possible.
Une des conséquences bénéfiques de cette stratégie, est de faire en sorte que chaque entreprise développe davantage ses potentialités.
Je cite un exemple : est-il normal que la Sonatrach qui exporte du pétrole brut, importe dans le même temps du carburant raffiné à destination des pompes à essence pour le consommateur algérien ?
Je réponds non.  Ainsi, un de mes engagements est de développer davantage l’activité "raffinage" de façon à ne plus importer du carburant raffiné.
3) Enfin le 3ème garde-fou concerne le management des deux nouvelles entreprises créées : Chacune d’elles aura un conseil d’administration et un conseil de surveillance.
Cette bicéphalité du management de ces entreprises contribuera elle aussi à réduire le risque de corruption.

Merci. J’attends vos remarques.
Rachid Nekkaz
Candidat à l’élection présidentielle
Algérie 2014

http://nekkazpresident.com/

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